Ô Messager, transmets ce qui t’as été descendu de la part de ton Seigneur. Si tu ne le faisais pas, alors tu n’aurais pas communiqué Son Message. Et Dieu te rendra invulnérable contre les attaques des hommes." [Sourate Al Mâ’ida, La Table Servie, 5/67]De quoi est mort le "prophète" ? Empoisonné ! Ce verset prouve une chose : Le Coran ne vient pas de Dieu parce que "Dieu" s'est trompé en disant que Mohammed serait invulnérable.
«[le Coran] est la parole d'un noble Messager,.. si [Mohammed] avait forgé quelque parole qu’il Nous avait attribuée, .. Nous lui aurions tranché l’aorte. Et nul d'entre vous n'aurait pu lui servir de rempart.» (Coran Sourate 69:40-47)Selon les Sahih al-Bukhari, Sahih Muslim et d’autres textes, Mohammed a été tué par une femme juive:
«une Juive offrit un mouton empoisonné au Prophète, et celui-ci consomma (de sa chair). On conduisit cette Juive devant le Prophète et on lui demanda s’il fallait la mettre à mort. « Non, répondit le Prophète. Anas ajoute: - J’ai depuis toujours détecté cet empoisonnement sur la luette de l’Envoyé de Dieu. » (Sahih al-Bukhari 2617)
«Une Juive vint vers le Messager d’Allah avec un mouton empoisonné et il prit de ce qui lui avait été apporté. Quand les effets du poison se firent ressentir, il l’appela et lui demanda de quoi il s’agissait. Elle lui dit alors : J’ai décidé de te tuer. Alors il lui répondit: Allah ne te donnera jamais le pouvoir de le faire » (Sahih Muslim 5430)Mohammed répondit donc à cette femme qu’Allah ne permettrait jamais qu’elle le tuât... pourtant le poison a bien eu raison de lui.
Pourquoi voulait-elle le tuer? Ibn Sa’d nous en donne la réponse:
«L’Apôtre d’Allah fit venir Zainab Bint al-Harith et lui dit: Qu’est-ce qui t’a conduit à faire ce que tu as fait? Elle répondit: Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, alors je me suis dit: Si tu es un prophète, le morceau de viande va t’informer; et d’autres ont dit: Si tu es un roi, nous nous débarrasserons de toi.» ( Ibn Sa’d p. 252)Elle a tué Mohammed parce qu’il avait égorgé sa famille.
Il parla ensuite de la souffrance dont il mourut plus tard
Je continuais de ressentir cette douleur venant du morceau que j’avais mangé à Khaibar. Ce fut le temps ou cela coupa mon aorte. (Sunan Abu Dawud 4498)Le Coran ne nous disait-il pas que ceux qui inventent des versets auraient l’aorte coupée?
(Ibn Sa’d, pp. 252-253). L’Apôtre d’Allah pris la cuisse, un morceau qu’il mit dans sa bouche. Bishr... pris un autre os qu’il mit dans sa bouche. Quand l’Apôtre d’Allah en mangea un morceau, Bishr mangea le sien et d’autres gens en mangèrent. Ensuite l’Apôtre d’Allah dit : N’y touchez pas ! Car cette cuisse m’a informé qu’elle est empoisonnée.Notons que ce passage nous dit que Bishr - le compagnon de Mohammed - est mort en mangeant du poison. Avant de mourir, il affirma avoir senti le poison immédiatement, mais en avoir mangé parce-que le "prophète" en avait aussi mangé. Bishr, l’apôtre de Mohammed est mort parce-qu’il avait confiance en Mohammed.
Alors Bishr dit : 'Par celui qui t’a élevé ! Je l’ai découvert par le morceau que j’ai mangé. Rien ne m’empêchait de le recracher, sauf la pensée que je ne voulais pas te dégoûter de ta nourriture. Après que tu aies mangé ce qui était dans ta bouche, je n’ai pas voulu sauver ma vie après la tienne, et je pensais que tu n’en aurais pas mangé s’il y avait quelque chose de mauvais'. Bishr ne se leva pas de son siège, mais sa couleur changea en celle d’un Taylsan (un habit vert).
Umm (la mère de Bishr) dit au Prophète durant la maladie dont il mourut: Que penses-tu de ta maladie, Apôtre d’Allah ? Je ne pense pas à la maladie de mon fils, sans penser au mouton empoisonné, qu’il a mangé avec toi à Khaibar. Le Prophète répondit : Et moi je ne pense pas à ma maladie sans penser à ceci: Ce fut le temps ou mon aorte fut coupée. (Sunan Abu Dawud 4449)
Lors de la maladie dont il mourut, le messager de Dieu dit à la mère de Bishr qui lui rendait visite, ’A ce moment j’ai senti mon aorte être coupée à cause de la nourriture que je mangeais avec ton fils à Khaybar.» (At-Tabari. p 124)
Aisha dit : «Je n’ai jamais vu quelqu’un souffrir plus de douleur que le messager d’Allah» (Sunan Ibn Majah 1622)Le Coran affirme qu’Allah devrait couper l’aorte de Mohammed si celui s’avérait être un faux prophète et c’est Mohammed lui-même qui témoigne plusieurs fois qu’il a eu l’aorte coupée. Ce témoignage n’est-il pas suffisant pour établir que Mohammed n’est pas un vrai messager de Dieu et tirer les conséquences quant à la religion qu’il a mise en place?
Écoutons maintenant un des plus grands commentateurs du Coran, sur la sourate 69:44-46
Tafsir Jalalayn. « Et si lui, c’est-à-dire le Prophète, avait fabriqué des mensonges contre Nous, en communiquant de Nous ce que nous ne lui avons pas dit, Nous l’aurions très certainement saisi, Nous aurions exercé vengeance [contre lui], comme punition, par la main droite, par [Notre] puissance, alors Nous lui aurions très certainement coupé son artère de vie, l’aorte du cœur, une veine qui le rejoint, et qui conduit à la mort de la personne, si elle est coupée.Si Mohammed a été un faux messager, nous savons maintenant la manière dont Allah devait le mettre à mort. Si nous regardons le Coran de plus près, nous avons en fait, 10 bonnes raisons pour ne pas accepter le témoignage de Mohammed:
Exemple: Si je suis un faux prophète, que Dieu me frappe d’un éclair! Le fait qu’aucun éclair ne les frappe, n’est pas la démonstration qu’ils sont de vrais prophètes car Dieu ne donne pas toujours une punition immédiate à ceux qui mentent ou blasphèment.
Mohammed n’a pas eu suffisamment de présence d’esprit pour comprendre qu’il aurait mieux fallu ne pas manger de cet agneau. Comment pourrions-nous après cela encore lui faire confiance? Un vrai prophète peut-il à ce point manquer de sobre bon sens?
J’aimerais mourir pour la cause d’Allah et revenir à la vie; et re-mourir en martyr et revenir à la vie; et re-mourir en martyr... etc. (Sahih al-Bukhari 27:97)Si vous lisez les sources musulmanes vous saurez que chaque fois que Mohammed désire quelque chose, Allah le lui accorde par une nouvelle révélation.
La Surate 69 coranique qui relate le passage sur l’aorte s’appelle « Al-Hâqqa - l’inéluctable». Oui, la condamnation de Mohammed par Allah et sa fin étaient inéluctables. Dieu est la critique ultime de Mohammed.
Je ne me soucie pas de ce que dit Allah, je veux continuer à croire en Mohammed.
Alors c’est que l’Islam n’est pas une soumission à Dieu mais une soumission à Mohammed.