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Historicité de la crucifixion

la crucifixion de Jésus est attestée par de nombreux auteurs contemporains. Personne n'a jamais remis sa mort en question avant plusieurs siècles!!
Lucien de Samosate (125 - 192) Ecrivain grec satirique. Il parle de Christ comme : "Celui qui est honoré en Palestine, où il fut mis en croix pour avoir introduit ce nouveau culte parmi les hommes... Le premier législateur [des chrétiens] les a encore persuadés qu'ils sont tous frères. Dès qu'ils ont une fois changé de culte, ils renoncent aux dieux des Grecs, et adorent le sophiste crucifié dont ils suivent les lois." (Mort de Pérégrinus, paragraphe 11-13)
Jules l'Africain, auteur chrétien des années 220 cite Thallus (Historien païen dont les écrits qui datent de 52 sont perdus) , à propos de l'obscurité qui a eu lieu lors de la crucifixion de Jésus : "Thallus, au troisième livre de son Histoire explique cette obscurité par une éclipse, ce qui me parait inacceptable!". le fait que cet auteur païen parle de "l'éclipse" qui a eu lieu lors de la crucifixion de Jésus, implique qu'il considère comme acquis l'existence et la crucifixion de Jésus.
Josèphe (37 - 97) Prêtre, pharisien, était chef militaire Juif pendant la guerre contre Rome. Historien juif, il a écrit "Guerre des juifs" (75-79), et "Antiquités Juives" (93). "...Jésus, qui était un homme sage, .. Des chefs de notre nation l'ayant accusé devant Pilate, celui-ci le fit crucifier... Il leur apparut vivant et ressuscité le troisième jour..." (Antiquités 18.3.3)
Manuscrit Syriaque n° 14658 du British Muséum (date de 73 environ) Lettre envoyée par un Syrien nommé Mara Bar-Serapion, à son fils Serapion. Alors qu'il est en prison, il encourage son fils à poursuivre la sagesse, soulignant que ceux qui ont persécuté les sages ont eu des problèmes. Il prend comme exemple les morts de Socrate, Pythagore et Christ. A propos de Christ il dit : "... quel avantage les Juifs ont-ils gagné à exécuter leur roi sage ? Leur royaume fut anéanti peu après..."
Cornélius Tacite (55 - 118) "le nom de chrétien leur vient du nom de Christ, qui fut condamné sous le règne de Tibère, par le procureur Ponce Pilate, ..." (Annales, 15.44)
Pline le Jeune "Ceux qui niaient être chrétiens ou l'avoir été, s'ils invoquaient des dieux selon la formule que je leur dictais et sacrifiaient par l'encens et le vin devant ton image que j'avais fait apporter à cette intention avec les statues des divinités, si en outre ils blasphémaient le Christ - toutes choses qu'il est, dit-on, impossible d'obtenir de ceux qui sont vraiment chrétiens -, j'ai pensé qu'il fallait les relâcher... [Ceux qui disaient qu'ils étaient chrétiens] affirmaient que toute leur faute, ou leur erreur, s'était bornée à avoir l'habitude de se réunir à jour fixe, avant le lever du soleil, de chanter entre eux alternativement un hymne au Christ comme à un dieu, ..."
(Lettres et Panégyrique de Trajan : X/96/5-7)
Il y en a bien d'autres.

Nier la mort du Christ rend incompréhensible tous les textes révélés précedemment sur la nécessité d'un sacrifice parfait.

passage du Coran abordant le sujet de la mort et de la résurrection de Jésus:

"Dieu dit à Jésus : Je te ferai subir la mort et je t'élèverai à moi"
(Coran, Sourate III verset 55)