ce que le Coran dit du développement du foetus: une goutte de sperme, devient un caillot de sang, etc...
Sourate 75.37-39: (L'homme) n'était-il pas goutte de sperme, de semence semée ? Et ensuite, caillot de sang, tel que Dieu à créé puis arrangé, puis fait de lui le couple, le mâle et la femelle ? »Le mot "caillot de sang", en arabe `alaqa au singulier ou sous sa forme `alaq comme pluriel collectif désigne six fois dans cinq versets différents du Coran, un stade du développement du foetus.
Il y a un hadith authentique rapporté d'après Abou-Abd-ar-Rahmân Abd-Allah ibn Mas`ud qui dit :
Le Messager d'Allah (puisse Allah répandre sur lui Ses bénédictions et lui accorder Son salut ! ) nous a tenu ce propos, lui, le véridique en tout, le digne de créance : « La création de n'importe qui d'entre vous s'accomplit en diverses phases dans le sein de sa mère : simple goutte de sperme au début, durant quarante jours, il devient corpuscule qui s'accroche pour une période égale, puis particule de chair (embryon) pendant quarante jours encore. Enfin, un ange est envoyé qui insufle en lui une âme, principe de vie. .... » Hadith transmis par Al-Bukhari et Muslim.Nous sommes ici en présence d'un hadith qui est attribué directement à Muhammad, qui est attesté par les meilleures autorités, Bukhari et Muslim ; inclu dans une collection de hadiths par un spécialiste des hadiths, et qui comporte des grossières erreurs scientifiques.
L'embryon évolue d'après le Coran via les états suivants:
Je pense aussi au verset:
"Les femmes sont votre champ de labour..."Quid du rôle de la femme dans la procréation? Aucun? Un simple "champ"?
Psaume de David
Éternel, tu me sondes et tu me connais...Tu m'as fait ce que je suis, et tu m'as tissé dans le ventre de ma mère.
Merci d'avoir fait de moi une créature aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien.
Mon corps n'était pas caché à tes yeux quand, dans le secret, je fus façonné et tissé comme dans les profondeurs de la terre.
Je n'étais encore qu'une masse informe, mais tu me voyais et, dans ton registre, se trouvaient déjà inscrits tous les jours que tu m'avais destinés alors qu'aucun d'eux n'existait encore.
ombien tes desseins, ô Dieu, sont, pour moi, impénétrables, et comme ils sont innombrables !
Si je les comptais, ils seraient bien plus nombreux que les grains de sable sur les bords des mers.
Psaume 139