Le prophète Mohammed ensorcelé

Aicha rapporte que le prophète a été ensorcelé à tel point qu'il s'imaginait entretenir des rapports sexuels avec ses femmes alors qu'il ne le faisait point".(Certains savants ont dit que ce sortilège est le sortilège de l'impuissance).
Imam Ibn Al Quaim rapporte que le Quadi Iyad a dit: L'ensorcellement est semblable à une maladie qui pourra s'abattre sur une quelconque personne de même comme le prophète.
Allah envoya deux anges qui dirent au prophète qu'il est atteint de sorcellerie et lui désignèrent l'endroit où était caché le sortilège. Le prophète dit: deux hommes (c'est à dire deux anges à aspect humain) vinrent à moi. Un s'est assis près de ma tête et l'autre près de mes pieds. Le premier a demandé : que lui est-il arrivé ? L'autre a répondu : de la magie a été employée contre lui. Le premier a demandé : qui l'a employée ?

Il a répondu : Labid Ibn Asam. Il a demandé : dans quoi est-elle contenue ? Il a répondu : dans un peigne et des cheveux couverts de la bractée d'un dattier mâle. Il a demandé : où est-il ? Il a répondu : sous une pierre au fond de Dhi Arwan (ou Dharwan), le puits de Bani Zurayq. Il a demandé : que devrait être fait à ce sujet ? Il a répondu, le puits devrait être vidé et cela devrait être retiré de sous la pierre.

Le Prophète envoya Alî, Amar Ibn Yasir et Zubaïr retirer le sortilège qui se trouvait dans un puits. L'eau fut retirée et on retrouva le spathe. Là, ils découvrirent à part le peigne et les cheveux une corde avec 11 nœuds et une figure de cire transpercée d'épingles.

Jabrael vint et lui dit de réciter les Mu`awwidhatayn. Pendant qu'il récitait, verset après verset, un nœud se défaisait et une épingle sortait à chaque fois, jusqu'à ce que ce qu'au dernier mot, tous les nœuds soient défaits et toutes les épingles enlevées, et il était entièrement libéré du charme.

Après cela, il appela le juif Labid et le questionna. Il avoua et le Prophète le laissa partir, car il ne se vengeait jamais de quiconque lui avait fait du mal. Il refusa même d'en parler aux autres, disant qu'Allâh lui avait redonné la santé ; et que donc il ne voulait pas inciter les gens contre personne.(Hadith rapporté par El Boukhari)

Nous savons très bien ce qu'ils écoutent. Quand ils t'écoutent et qu'ils chuchotent entre eux, les injustes disent: ‹Vous ne suivez qu'un homme ensorcelé›.
Coran 17:47 voir aussi Coran 26:185
Mohammed était de son vivant fréquemment accusé d'être possédé par le Diable.
2. Tu (Muhammad) n'est pas, par la grâce de ton Seigneur, un possédé.
Coran 34.46. Dis : “..Votre compagnon (Muhammad) n'est nullement possédé : il n'est pour vous qu'un avertisseur annonçant un dur châtiment”.

Aïcha l'a aussi accusé d'avoir été ensorcelé.

Pardonne-t-on à un tributaire, qui s'est rendu coupable de sorcellerie ? On demanda à Ibn-Chihâb si l'on devait mettre à mort celui qui s'était rendu coupable de sorcellerie; il répondit "il nous est parvenu que l'Envoyé de Dieu fut victime d'un acte de sorcellerie, et ne fit pas mettre à mort l'auteur du forfait qui appartenait aux gens du Livre."
"D'après 'Aïcha, le Prophète fut victime de sortilèges, si bien qu'il s'imaginait faire des choses qu'en réalité il ne faisait pas". Hadith 58.14
'Aïcha a dit: "le Prophète ayant été ensorcelé fut en proie à de telles hallucinations qu'il s'imaginait faire ce qu'il ne faisait nullement... Hadith 59.11

Voir aussi le problème des versets sataniques du Coran.